AUJOURD’HUI LA PREUVE EST FAITE LE M-R FAVORISE LES ENTREPRISES AU DÉTRIMENT DE CRÉATIONS D’EMPLOIS CONVENABLES.
Les subventions salariales et les réductions de cotisations des entreprises sont équivalentes à l’impôt qu’elles payent.
BIZARRE :
Quand le gouvernement parle des demandeurs d’emplois, il dit qu’il faut arrêter l’assistanat social mais quand il parle des entreprises, il dit que ces aides sont nécessaires dans le cadre d’une concurrence internationale accrue .
Les entreprises ont reçu plus de 13,8 milliards d’euros comme aide en 2016, c’est quasi autant que ce que payent les entreprises comme impôts en Belgique soit 15,290 milliards d’euros .
Ce qui étonne c’est que ces aides données aux entreprises ne font pas l’objet d’une évaluation de la part du gouvernement mais par contre pour faire des économies dans les services publics, là il y a toujours bien une évaluation qui démontre qu’il faut se serrer la ceinture.
CHERCHEZ L’ERREUR !!!
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DANS SA GRANDE REFORME FISCALE, LE GOUVERNEMENT NOUS A PROPOSE LA TAXE CAÏMAN.
Cette taxe était présentée comme l’impôt de transparence fiscale, elle devait permettre une transparence des revenus provenant des fondations ou entités établies dans des états sans fiscalités ou très peu élevées.
Elle devait viser plus particulièrement les constructions juridiques qui passaient entre les mailles du filet.
Cette taxe était censée rapporter 460 millions d’euros par an dans les caisses de l’état mais force est de constater qu’elle n’a rapporté que 40 millions en 2016.
Au-delà de l’échec de la politique fiscale dans l’imposition des sociétés et des constructions offshores , il faut constater que la seule solution trouvée pour combler ce manque de recette est celle que le gouvernement propose en faisant des économies sur les financements des services publics.
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Pour comprendre, il suffit de comparer nos salaires aux dépenses moyennes des ménages.
Le belge consacre entre un tiers voir la moitié de ses revenus pour son logement et ensuite quand on ajoute les autres dépenses qui peuvent fluctuer en fonction de sa composition de ménage, de ses revenus et de la santé, on constate :
Qu’ un ménage consacre aussi, en pourcentage sur ses revenus :
Les transports et les communications 17%
L’alimentation , les boissons et autres 16%
La poste , la culture et l’enseignement 8%
Les appareils ménagers et autres 6%
Les dépenses de santé 10%
Enfin, la répartition des dépenses moyennes par ménage, selon le statut professionnel de la personne (ouvrier, employer, pensionné, famille mono parentale) relèvera les moyennes respectives.
NON LA POLITIQUE DU GOUVERNEMENT MICHEL NE DONNE PAS PLUS DE POUVOIR D’ACHAT MAIS ELLE PRECARISE DE PLUS EN PLUS DE CITOYENS !!!